Ce matin, à la demande de la Mairie de Toulouse, les services municipaux accompagnés de la police municipale ont exigé la levée du campement et que les toulousain-e-s s’expriment ailleurs que sur la place du Capitole. Ils ont donc fait saisir sous la pluie l’essentiel du campement : tables, banderoles et différents matériels nécessaire au mouvement des Indignés. Le cabinet du maire a prévenu que la prochaine fois, ce serait la préfecture qui interviendrait.
C’est la même logique qu’en Espagne et dans le reste de la France : on ne veut pas laisser le peuple se réapproprier l’espace public et reconnaitre que c’est à la justice de se prononcer sur l’exercice de nos libertés. Celui-ci est pourtant légitime comme vient de le reconnaitre le tribunal administratif de Pau en décidant de rejeter la demande d'expulsion des "indignés" de Bayonne.
Comme ceux de Barcelone ou de Paris, les Indignés rappellent leur détermination à continuer le mouvement et occuper la place du Capitole pour permettre aux toulousain-e-s de réaliser la démocratie réelle.
Democracia real ya - Prenons la place Toulouse
bonjour,
RépondreSupprimersavez vous que toulouse n'est plus dans le décompte d villes mobilisées aujourd'hui, ni hier d'ailleurs?
Y-a-t-il une AG aujourd'hui? D activités ds la journée?
Merci!
(P.S: j'ai oublié de préciser: n'apparait plus dans le décompte d villes mobilisées sur "Démocratie.fr"!)
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